Emmanuelle Riva, Vosgienne née à Cheniménil est en lice pour l’Oscar de la meilleure actrice pour «Amour» de l’Autrichien Michael Haneke, a annoncé aujourd’hui l’Académie des Arts et des Sciences du Cinéma à Beverly Hills (Californie, ouest).
Modeste famille ouvrière des Vosges, à Cheniménil entre Remiremont et Épinal, la jeune fille ne peut se satisfaire du métier de couturière qui lui semble destiné.
Lectrice assidue d’œuvres théâtrales, elle se joint à une petite troupe amateur de Remiremont. Convaincue de ses aptitudes et malgré l’opposition de sa famille, elle passe le concours de l’école de la rue Blanche. Reçue, elle monte à Paris en 1953, et obtient une bourse d’études. Elle est alors l’élève de Jean Meyer.
Son âge ne lui permet pas de prétendre à la formation prestigieuse du Conservatoire d’art dramatique.
Alain Resnais la découvre sur l’affiche de L’Épouvantail, et l’imagine pour son premier long métrage, Hiroshima mon amour, qui la fera mondialement connaître.
Avant le tournage en septembre 1958, treize ans après l’explosion de la bombe du 6 août 1945, Emmanuelle Riva parcourt les rues de la ville martyre avec son appareil photo Ricohflex et en saisit la vie retrouvée. Ces photos illustreront l’ouvrage collectif « Tu n’as rien vu à Hiroshima ».
Emmanuelle RIVA sera la seule présence française aux prochains Oscars Hollywood, dans la catégorie meilleure actrice féminine.
Aucune présence française pour les meilleurs acteurs hommes principal et 2e rôle, femmes 2e rôle, meilleur film, réalisateur, film étranger, documentaire, musique, chanson, scénario, maquillage.
Une récompense combien méritée après un long parcours .
Il est possible d’en voir dans les environs de gérardmer, du Donon, de la Bresse ou sur les crête (gazon du faing).
Ces sont des milieux humides, souvent assimilés aux marécages. Les tourbières se caractérisent par des îlots de végétation qui se sont formés sur des sols en tourbe.
L’intérêt? C’est sa biodiversité et l’originalité des plantes et des espèces
Les plantes : on peut y trouver des plantes rares comme la violette des marais, le sphaignes, la canneberge, l’urticaire et la diosera (plante carnivoire).
La faune des tourbières est constituée du grand tétras, de la grenouille rousse ou de la vannesse royale (notamment).
ATTENTION! Les tourbières sont des zones fragiles
Les Légendes :
La bête des Vosges
Elle sévit entre mars 1977 et février 1978, et fût à l’origine de la perte de quelques 200 animaux domestiques. On évalue sont territoire à plus de 150 km2.
A l’époque, l’armée fût mobilisée pour effectuer des battues sur tout le secteur. En vain.
Depuis, le mystère persiste. Personne n’a pu réèllement identifier l’animal. On évoque un loup, un lynx ou un chien sauvage.
La schlitte
Une schlitte est comme une grande luge avec de longs patins qui remontent à l’avant.
Elle est en hêtre ou en frêne et pèse 28 kg vide. Chargée, elle peut peser jusqu’à trois tonnes.
La schlitte glissait sur un chemin constitué de quartiers de bois placés comme les traverses de chemin de fer.
Ces quartiers sont retenus par des coins qui dépassent. La technique d’utilisation de la schlitte est simple, mais fatiguante et dangereuse. L’homme s’adossait à la schlitte et s’accrochait aux patins. Puis il descendait en retenant le traineau, rondin par rondin du chemin.
Bûcherons et schlitteurs montaient ensemble sur les lieux de travail. Les schlitteurs portaient leur schlitte, les bûcherons leurs outils: haches, passe-partouts, coins…
Avec ce bois descendu des Vosges, on faisait des charpentes, des meubles, du charbon aussi.
Pour cela, on empilait le bois en un tas en forme de meule et on le recouvrait de terre et de mousse.
Puis on mettait le feu. Le bois se consumait lentement. Pour savoir quant le charbon était prêt, on observait la fumée: quand elle était blanche, le charbon est prêt. On laissait refroidir avant de prendre le charbon.
Pour connaitre autres données sur les Vosges et faire la découvrir de beaux lieux et belles photos, un clic ci-dessous.
Sur les 3 photos ci-dessus : Phoëbe, la chatte de la maison, mon amour de
chat, une belle histoire entre nous.
Sur ces 3 autres, mes compagnons à quatre pattes dans les Vosges que je retrouve
chaque fois, le trio infernal qui ne me lache pas d’une semelle, le brun, est
celui qui est le plus attachant tellement il est calin.
Après des mois de séparation, dès mon premier pas, ils sont là !
Ici, le chat d’une amie, belle couleur.
Un chat qu’elle a reccueilli, il a trouvé une bonne maison.
Un de moins comme malheureux sur cette terre !!!!.
Le chat nous donne énormément de chose que l’on ne soupçonne pas.
Quelques citations. :
Le chat est d’une honneteté absolue: les êtres humains cachent, pour une raison ou une autre, leurs sentiments , les chats non. Citations de Ernest Hemingway.
Il y a deux moyens d’oublier les tracas de la vie : la musique et les chats. Citations de Albert Schweitzer
J’ai beaucoup étudié les philosophes et les chats. La sagesse des chats est infiniment supérieure. Citations de Hippolyte Adolphe Taine
On ne choisit jamais un chat : c’est lui qui vous choisit. et aussi…
Le chat ouvrit les yeux,
Le soleil y entra.
Le chat ferma les yeux,
Le soleil y resta.Voilà pourquoi le soir,
Quand le chat se réveille,
J’aperçois dans le noir
Deux morceaux de soleil.
Vous êtes Lorrain ou pas très loin de cette région,
vous ne savez pas comment occuper votre
prochain week end……
Alors direction Gérardmer dans les Vosges
c’est la Fête des jonquilles.
La fête la plus populaire des Vosges a lieu tous les deux ans depuis 1935, le dimanche le plus proche du 20 avril. La jonquille est la reine de la vallée des lacs et à chaque printemps les coteaux se couvrent de taches jaunes par millions. On cueille les jonquilles pour préparer les chars du corso fleuri. Il en faut environ 300 000 pour décorer un char. Et il y en a de toutes les sortes représentant un bateau, un train, une église… Renseignements : 03-29-27-27-27.
J’ai bien pensé à vous pendant mon séjour dans les Vosges,
la cure s’est bien passée, mais elle a été très fatiguante,
il faut dire que je faisais une double cure « rhumatologie et appareil digestif » .
Je suis revenue hier , ce n’est pas le soleil qui m’a accompagné tout au long
de ces 750 kms mais de la pluie et beaucoup de vent, par moment,
j’ai trouvé le temps long,
j’étais plus tendue que d’habitude avec le temps de « chien ».
Ce matin, c’est à nouveau un temps plus que médiocre, les feuilles jonchent le sol de toute part
le ciel est bouché complétement, sans le moindre coin de ciel légèrement bleuté.
Je vais vous répondre et visiter vos blogs un par un pour découvrir vos nouveaux billets, photos et savoir ce qui s’est passé pendant mon absence.
Surtout ne pas perdre courage pour certaines qui ont des problèmes de santé, de boulot, de famille etc etc….même si le soleil est absent, je vous envoie toutes mes « ondes positives » et mes pensées amicales en ce premier jour de la semaine.
Un peu de musique pour vous donner du baume au coeur.
Je remonte dans le wagonde l’amitié avec vous toutes et tous, vous avez été supers sympas avec vos coms et messages, cela fait chaud au coeur.
La glace Plombières est une crème glacée parfumée au kirsch et aux fruits confits ou une glace à base de lait d’amandes et de crème fouettée.Histoire
En 1798, un glacier-confiseur parisien du nom de Tortoni appartenant à la maison fondée par Velloni, placée à l’angle de la rue Taibout et du boulevard des Italiens actuel, près de l’Opéra, propose déjà de la glace Plombière à ses clients. Il s’agissait d’un entremets glacé aux œufs et fruits confits, sanglé dans un moule en plomb, d’où son nom.
En 1847, Honoré de Balzac son romanSplendeurs et misères des courtisanes, parle également de la glace Plombière servie au dessert. Il ne fait aucun doute que cette glace fut présentée à Napoléon III et à sa cour notamment à Plombières les Bains en 1858 lors de la réception occulte de Camillo Cavour.
C’est à partir de 1882 qu’un pâtissier, M. Philippe, installé à Plombières les Bains, eut l’idée de faire macérer les fruits confits dans le kirsch, lui donnant son goût incomparable. Depuis, MM. Philippe (1882), Maillot (1903), Brunella (1967), Racco, et aujourd’hui Michel Bilger du restaurant de la Fontaine Stanislas perpétuèrent l’idée et le choix du kirsch, dont la capitale, Fougerolles, est également proche de Plombières-les-Bains.
François-Louis Français, né à Plombières les Bains (Vosges) le 17 novembre 1814 et mort à Paris le 28 mai 1897, fut un peintre paysagiste, graveur et illustrateur.
Bibliographie
Il étudia la peinture sous la direction de Gigout et de Corot, et débuta au Salon de 1837. Ses premières toiles trahissaient une sorte de pesanteur native, dont il se débarrassa peu à peu. Son premier paysage : une Chanson sous les saules, qui a été peint en collaboration avec Baron, fut remarqué. On lui doit depuis : Jardin antique, le Parc de Saint-Cloud (avec des figures de Meissonier) ; Soleil couchant en Italie, la Fin de l’hiver, le Ravin de Nepi, Vue des environs de Rome (1853). Il reparut à l’Exposition universelle de 1855 avec ces quatre dernières toiles et un Sentier dans les blés, qui révèle un paysagiste de premier ordre. Indiquons ensuite le Ruisseau de Neuf-Pré, et, parmi plusieurs toiles de moindre importance, la grande page Orphée (1863). Après Orphée, la toile la plus importante de Français est son Bois sacré. L’artiste a essayé de rendre une fête de la nature, une aube de printemps. Vinrent ensuite : Environs de Paris, Environs de Rome (1866) ; les Regains (1868) ; le Mont Blanc, vu de Saint-Cergues (1866) ; Vue prise aux Vaux-de-Cernay (1872) ; Souvenir de Nice (1873) ; une Source, une Terrasse à Nice (1874) ; le Ravin du Puits-Noir, le Ruisseau du Puits-Noir (1875) ; le Miroir de Scey.
En 1878, Français a achevé, dans l’église de la Trinité, à Paris, deux compositions, représentant Adam et Ève chassés du paradis et le Baptême du Christ.
En 1878, il envoyait au Salon deux peintures : le Mont Cervin et le Lac de Némi, et deux aquarelles : un Sentier à Rome et une Lisière de Bois en automne. L’artiste exposa ensuite la Vallée du Roussillon (1879) ; le Soir et la Grand’-Route à Combs-la-Ville, une de ses plus belles toiles (1880) ; l’Ave Maria à Castel Gandolfo, un Lavoir à Pierrefonds (1881). En 1884, Français envoya l’Étang de Clisson, paysage plein de fraîcheur et de poésie ; en 1885, une Vue du bord du lac de Némi, d’une admirable transparence aérienne, et un petit Dessous de bois. En 1890, Français fut le premier paysagiste à être admis à l’Institut en remplacement de Robert-Fleury. Cette même année, il obtenait la médaille d’honneur au Salon des Champs-Elysées où il exposait deux paysages, une première pour un paysagiste.
Excellent peintre de portrait à ses heures, Français a exécuté son autoportrait pour le Corridor deVasari de la Galerie des Offices de Florence. Ce fut un artiste robuste, vigoureux, plein de sève et de finesse à la fois, réunissant dans un bel équilibre les qualités de justesse et d’habileté dans la composition.
La ville possède 27 sources chaudes faiblement minéralisées mais riches en oligo-éléments, les eaux de Plombières jaillissent à des températures comprises entre 57 et 84 degrés : idéales pour se relaxer, elles sont aussi indiquées dans le traitement des affections digestives et rhumatismales.
Une stèle est érigée en souvenir de l’ingénieur américain Robert Fulton qui est venu présenter à Joséphine de Beauharnais, en 1802, la maquette de son bateau à vapeur. L’expérience eut lieu sur un bras de l’Augronne, près de l’actuelle rue Fulton, et l’invention devait révolutionner l’art de la navigation.
Le 21 juillet1858 eut lieu dans le « pavillon des princes » (actuels bureaux de l’administration de la Société thermale) la rencontre secrète entre l’empereur Napoléon III et le comte de Cavour, premier ministre sardo-piémontais, aboutissant au traité de Plombières. Cet accord prévoit qu’en l’échange de l’appui militaire français au Piémont-Sardaigne dans sa guerre contre l’Autriche, la France sera indemnisée par l’annexion de la Savoie et de Nice.
Blasonnement
D’or à la bande de gueules chargée de trois alérions d’argent au lambel de même brochant sur le tout.
Plombières a adopté ce blason en 1880, grâce au docteur Liétard qui a voulu rappeler par là que la ville était l’apanage de « Ferry de Plommières », second fils de Ferry III, duc de Lorraine. Le journal illustré de 1865 attribue à la ville un blason d’azur à la fontaine jaillissante d’argent au chef de gueules chargé de trois abeilles d’or.
Un clic ci-dessous pour avoir quelques photos et renseignements
Plombières les Bains est la cité thermale bi-millénaire des Vosges Méridionales.
Dans cette petite ville pittoresque où Napoléon III séjournait,
flânons sous les arabesques de pierre, de métal et de bois de l’hôtel
Métropole construit dans le plus pur style de l’école de Nancy.
Prenons de la hauteur vers les jardins en terrasses
Les Jardins en terrasses
1, place Beaumarchais à PLOMBIÈRES-LES-BAINS
Tél : 03.29.37.68.81:
qui surplombent les toitures de la sulfureuse cité
aux mille balcons et 27 sources chaudes.
Le petit train touristique
Le dessus du Bain Romain et les Arcades
La Buvette des Thermes Impériaux
L’Orgue de l’Eglise de St.Amé de Plombières.
La Vierge de Plombières édifiée en 1855
à la gloire de Notre Dame.
En effet, une année auparavant, alors qu’une épidémie
de peste sévissait dans la région,
Plombières et ses habitants furent miraculeusement épargnés.
LA CENTRALE EUROPEENNE DU BAUDET DU POITOU - BDP’ZLa centrale BDP Europe existe depuis 2002. Elle essaie de coordonner tous les élevages de BDP en dehors de la France afin de les recenser et les conseiller. Le bureau de ce réseau volontaire se situe dans une asinerie à Pomblières les Bains (Vosges) ainsi que dans l’asinerie Cleeberg (Allemagne). Le Parc Impérial et son étangVue du golf miniature au parc impérialPlombières les Bains c’est aussi ses Marchés de NoëlLa prochaine édition du Marché de Noël de Plombières-les-Bains aura lieu tous les week-ends du 29 novembre au 21 décembre 2008.
Je prépare comme une élève attentive mon exposé sur les Vosges. Alors juste un peu de patience et vous pourrez admirer les premières photos prises lors d’une belle ballade dans cette région magnifique.